Cette photo provient de l'album : https://photos.app.goo.gl/gQQt5sQiQyBLiFLQ9

Fire in my sky

Bonne fête des femmes !

Sunsets from 2014-09-19 to 2016-01-20 499 pictures

"La pollution de l'air coûte 6 mois d'espérance de vie aux Parisiens" J'ajouterais même "aux Parisiens non fumeurs"..."De 200.000 [particules ultrafines par litre d'air] un jour de faible pollution dans la capitale, ce nombre peut grimper à 6 millions lors d'un pic de pollution comme celui du 13 décembre 2013. Un record équivalent, pour les Parisiens, à la fumée dégagée par huit cigarettes dans une pièce de 20 mètres carrés."On respire bien mal à Paris au jour d'huit cigarettes.http://www.lesechos.fr/politique-societe/regions/0203960944249-la-pollution-de-lair-coute-6-mois-desperance-de-vie-aux-parisiens-1067517.php

Do you guys still believe that the quantum state does not exist at our scale? Well, to me it sounds like a mistake, because we experiment it very often, especially with the beginner's luck or in what people call "spiritual awakening". People tend to call "God" every phenomenon that they don't understand and that is not described by science. @ #science #quantum #computer

#surnatural -looking #asperatus #clouds over #Montpellier, strange again!

Très belle analyse, que je partage totalement. Mais il ne faut pas oublier un point, qui est peut-être tout aussi central.Facebook est une société qui marche sur des oeufs : leurs utilisateurs ne sont pas captifs, l'avenir est incertain, il est difficile et long d'en extraire du chiffre d'affaire. Pourtant la capitalisation de l'entreprise est extrêmement haute, à milliards, alors pourquoi ?Et bien parce que ce qui fait tourner Facebook, ce n'est pas tant l'argent engrangé en chiffre d'affaire, mais l'argent engrangé en participations financières, en valorisation boursière. Et de quoi a besoin ce public-là ? De rêve. Ils faut qu'ils rêvent pour pouvoir continuer de mettre de l'argent sur la table.Alors bien sûr Mark n'est pas fou, et s'il dépense des milliards pour acheter des entreprises vides, ça n'est pas les entreprises qu'il achète, c'est le rêve qu'elles représentent. Valoriser haut une entreprise vide, permet à Facebook de s'auto-valoriser, en retour.C'est un peu comme un selfie, mais pas photographique : c'est un selfie entrepreneurial. Et s'il continue à se regarder comme ça, un jour le bon Mark se retournera, et le retour à la réalité (notre réalité) sera très dur pour lui. Il n'est pas déconnecté de "la" réalité, il est juste dans la sienne.http://www.frandroid.com/editoid/204353_mark-zuckerberg-il-completement-deconnecte-realite

à propos de http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/09/23/ca-fait-bien-longtemps-que-je-ne-prononce-plus-mon-prenom-quand-je-me-presente-au-telephone_1244095_3224.htmlJe vous remercie, "M.", ;-)pour votre témoignage, inventaire indispensable à l'objectif de mémoire sociale auquel nous sommes tous liés. Lorsque vous rencontrez 10 personnes, 100 ou 1000, la présence d'un seul abruti peu dégrader durablement l'expérience sociale, on le constate aisément. Et si ce n'est pas pour la couleur de peau, ou la religion ou son absence, c'est pour la taille (grande ou petite), la force ou la faiblesse, la richesse ou la pauvreté, la beauté ou la laideur, l'apparence, le comportement, le style vestimentaire, la famille, le groupe social, etc.Mais, il semble que la présence de toute forme de bêtise soit inévitable, autant que l'est celle de toute forme de chaque chose : car cela participe de façon égale au "principe de mémoire" global. Alors, pour éviter cette dégradation, si éviter leur présence n'est pas possible, la seule solution ne peut se trouver qu'en chacun de nous, par le comportement réponse que nous manifestons, ou son absence si cela constitue une meilleure solution.Le rejet n'est pas le problème. Car le rejet participe à la définition de notre identité : "je me définis par ce que j'aime et par ce que je déteste". Je m'approche ou je consomme ce que j'aime, et j'évite et je m'éloigne de ce que je déteste, je le rejette : la technologie, la science, l'art, la musique, l'écologie, le bio, les armes à feu, la cigarette, la drogue, la philosophie, la paresse, l'électricité, etc, tout peut être aimé globalement ou subtilement, ou rejeté globalement ou subtilement. Il n'y a aucune réponse universelle. C'est un droit fondamentale et il participe à l'expression des libertés individuelles, il ne peut donc pas et ne doit pas être altéré.Mais la liberté des uns commence là où s'arrête celle des autres, et réciproquement. La manifestation de cette identité (amour et rejet) ne devrait pas être tolérée en société. Et en cela, ce principe devrait être enseigné systématiquement dans le cursus scolaire, je m'étonne qu'il ne le soit pas.

En réaction à : https://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/01/03/la-nsa-cherche-a-construire-une-machine-a-decrypter-universelle_4342494_651865.html LeMonde et AFP, soyez plus précis, s'il vous plait : 1. En français on parle d'ordinateur quantique (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Calculateur_quantique), et non pas d'ordinateur "quantum", qui est le mot anglais 2. Et si, ne vous déplaise, mais il est tout à fait envisageable (et même probable) qu'ils en ait construit un, d'ordinateur quantique, et qu'il soit opérationnel (cf. http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/informatique-google-lance-ordinateurs-quantiques-d-wave-systems-46601/) Renseignez-vous un minimum, avant de publier ! Bon, évidemment, c'est un sujet un peu technique, et très scientifique, mais tout de même.

C'est bien également ce que je constate depuis environ 10-15 ans : de plus en plus d'études "scientifiques" statistiques en biologie tirent des conclusions hâtives sur des sujets difficiles et compliqués, sans tellement se soucier de la véracité de leurs conclusions. Ce faisant, ils engloutissent des budgets et ne produisent rien, rien d'autre que le reflet de leurs présupposés... lamentables. Ceci n'est pas de la science.